Pour récurer le passé rien de tel que le courroux. Quelques gouttes dans les canalisations de l’âme suffisent. À renouveler selon l’encrassement. Résultat garanti. ©Tisseur de Rimes
« Cette colère était froide, calme, et si l'on peut s'exprimer ainsi, raisonnable, donc la plus répugnante et la plus terrible de toutes. » Fiodor Dostoïevski